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14 septembre 2014 à 19 h 31 min #13527
Bonjour Pascal,
Je prends connaissance de ce sujet seulement maintenant, mais il m’intéresse grandement ;
En effet je viens d’acquérir un EDEL 660 de 1980 en bon état mais le pied de mât est partiellement cassé (comme beaucoup d’autres de cet âge sans doute) ;
Il manque un des deux ergots qui servent au basculement ; du coup je dois avoir recours au grutage à chaque opération de mâtage ou démâtage ;
Donc je me placerais volontiers sur la liste des demandeurs pour un nouveau moulage, mais si je me base sur les photos présentées sur ce fil, je vois que mon pied de mât est différent ; il semble que pour un même bateau il peut y avoir différents profils de pied de mât ;
La question est : comment être sûr d’avoir la même pièce ? A moins de démonter ‘iginal et de l’expédier à cet artisan ; accepterait-il de faire différents moulages, et à quel prix ?
Merci pour la suite de l’info
Amicalement
Jean-Pierre7 mars 2014 à 11 h 11 min #13239Merci Henri pour ta contribution ; je vais prendre le temps d’étudier ton système ; l’idée de l’ancrage sur le pont est à priori très simple à réaliser : je m’étais imaginé, en regardant ce qui s’était fait sur de plus grosses unités, que la reprise de tension du point d’ancrage de l’étai volant devait se reporter sur l’étrave par l’intermédiaire d’un ridoir placé dans le coffre à mouillage, l’effort sur le pont ou la ferrure de taquet de pont pouvant être supérieur à leurs résistances respectives : la question est posée et tu as certainement dû testé la résistance de ton système par vent musclé pour nous dire s’il est assez résistant ;
L’autre question que je me pose est celle de la platine de mât sur laquelle frapper le haut de l’étai volant ; si j’ai bien compris, celle ci est rivetée sur l’avant du mât ; ne pouvant pas zoomer la photo de ton article sur le détail de la platine, j’aurais bien envie de te demander les dimensions de cette platine et le diamètre des rivets appropriés ; là encore j’avais pensé qu’on serait obligé de passer par un étrier entourant le mât pour une meilleure résistance à ce point qui subit de gros efforts ( j’ai des doutes sur la résistance à l’arrachement de simples rivets pop) : qu’en penses-tu d’après ton expérience ?
Voilà Henri ; pour l’instant je n’en suis qu’au stade de l’étude de faisabilité, et n’ayant pas le bateau sous la main pour commencer les travaux, j’attends les beaux jours pour m’y mettre ;
Au plaisir de partager sur d’autres sujets;
Cordialement
Jean-Pierre1 novembre 2011 à 13 h 59 min #11195Je suis heureux d’apprendre que Maurice Edel est toujours présent ; mais attendu qu’il ne doit plus être très jeune, croyez vous qu’il soit encore disposé à apporter ses conseils aux heureux possesseurs des excellents bateaux qu’il a construit ?
Peut-être Pascal,notre webmaster, pourrait-il se charger de créer un lien avec lui?
Pour en revenir au sujet en cours, ce qui m’intéresse pour mon EDEL V qui n’a pas de mousse (j’ai vérifié), c’est de connaître la technique d’injection de mousse expansible : quel matériel, quel produit, quelles quantités, quels fournisseurs ?
Si quelqu’un possède des renseignements précis sur tout cela, je pense que cela profiterait à beaucoup d’entre nous .
Merci et cordialement.
Jean-Pierre10 octobre 2011 à 11 h 39 min #11115Pour « Billy »
OK pour l’EDEL 2 ; mais ma question portait sur l’EDEL V !
Mais seraient-ils cousins ?
Par ailleurs je ne suis pas spécialement regardant sur l’homologation, mais aimerais seulement ajouter un plus sécuritaire sur mon bateau
Cordialement
Jean-Pierre10 octobre 2011 à 10 h 45 min #11112Bonjour ,
Le sujet de l’insubmersibilité de l’EDEL V m’intéresse de près étant moi-même propriétaire de ce bateau ; j’ai vérifié l’intérieur des caissons à l’avant et au centre en perçant des trappes dans le contre moulage et le constat est clair : aucune présence de mousse pouvant offrir une réserve de flottabilité en cas d’avarie dans la coque ; d’où ma question : quelqu’un a-t-il déjà essayé de rendre insubmersible son EDEL V en injectant de la mousse ou tout autre procédé à mettre en oeuvre par soi-même ? et par ailleurs cette solution (injection de mousse) est-elle envisageable et raisonnable ? J’ai lu quelque part que dans ce cas s’il y avait une infiltration dans la coque, la mousse se gorgerait d’eau et alourdirait le bateau sans garantir l’insubmersibilité (!)
Qu’en est-il exactement ?
Merci pour vos informations sur le sujet
Jean-Pierre -
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