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14 avril 2012 à 4 h 51 min #11994
Bonjour,
Alors pour les sondes, j’ ai eu la même réflexion et en fait les mettre a l’ avant n’ apporte rien, si tu n’ as plus de fond, c’ est déjà trop tard…
Je n’ ais pas voulu percer le bateaux pour un gain minime donc mes sondes sont dans les coffres au plus près de la quille (600 DL).
J’ ais voulu bien différencier le coté technique et le coté habitable.4 avril 2011 à 3 h 11 min #101764 avril 2011 à 3 h 09 min #101744 avril 2011 à 3 h 04 min #1017219 février 2011 à 12 h 51 min #9979Ça c’ est nickel Pascal et bien plus pratique que ma solution, bel outil, Bravo
18 février 2011 à 12 h 32 min #9969Bonjour,
Quand j’ acheter mon 600 DL, la dérive était bloqué aussi, je l’ ai débloqué avec une barre, puis meuler pour enlever la rouille et depuis ca fonctionne nickel.
Il est sur quel a perdu un peu d’ épaisseur…En passant utilise Gimp logiciel gratuit qui te permet de redimensionner tes images:
http://www.01net.com/telecharger/windows/Multimedia/creation_graphique/fiches/5245.html
8 février 2011 à 8 h 50 min #9903Bonjour,
Normalement pas de soucis elle doit être en butée sur le saumon7 février 2011 à 14 h 03 min #9895Bonjour,
Le pataras n’ est pas une obligation, j’ en connais même qui le supprime complètement en régate, et même les bas haubans, ils laisse du jeu pour faire fléchir le mat.
Moi perso je l’ ai garder, ce qui permet de courber ton mat pour creuser ta voile.
sinon voila en plus clair…
Sur un voilier moderne (gréement bermudien), le pataras (5) est un câble reliant la tête de mât à l’arrière du navire : il contribue à maintenir le mât dans sa position verticale en longitudinal. Le pataras fait partie des manœuvres dormantes ; il peut être simple ou double.La traction du pataras est souvent réglable à l’aide d’un ridoir placé à l’extrémité fixée au pont du navire. Le pataras peut parfois être souqué lorsque le vent forci : cette action, en raidissant le guindant de la voile d’avant, permet de l’aplatir. Par vent faible, le pataras pourra être molli pour creuser les voiles. Aux allures portantes, le pataras pourra être molli.
Sur les voiliers disposant de deux pataras, allant de la tête du mât aux deux coins du tableau arrière, un palan disposé entre les deux à hauteur d’homme permet généralement d’en régler la tension.
Certains voiliers en sont dépourvus, car la forme de leurs barres de flèche (4) permet de décaler les haubans vers l’arrière et de retenir le mât. Ce sont des barres de flèches poussantes.
7 février 2011 à 10 h 47 min #9894Ressouder tu oublie aussi, il me semble que c’ est du Zamac: insoudadle.
Pour tes vis, utilise un tournevis de frappe et si ca ne marche pas perce.6 février 2011 à 19 h 59 min #9887D’ accord avec Aralalda, mais je me méfie du bois, source de rupture si on ne connais pas le métier, sens des fibres, quel bois prendre, l’ entretien, la durée de vie, le cout, etc…
moi perso je pencherai plus pour du sur mesure, même sur de l’ alu ou de l’ inox, tu y gagneras a long terme.
Si tu prend des mesures soigneuses, je veux bien te faire un plan 3D et mise en plan.(Je suis dessinateur projeteur)
Amicalement Almo6 février 2011 à 15 h 39 min #9884Bonjour,
Le collage oublie de suite, même si il existe des produits fantastiques, toutes les contraintes mécaniques passe par le pied de mat, moi perso cela me ferai peur. Sur les Edels regarde comme la structure est renforcé au pied, c’ est pas pour rien.
Moi je le changerais, mais attention au compatibilité, nos Edels ne sont plus tous jeunes, bon courage et fais ca de manière à récupérer la rigidité de la conception.
Amicalement, Almo.4 février 2011 à 18 h 16 min #9879Nickel, merci encore
Effectivement j’ ai pas réfléchi plus loin que le bout de mon nez, vu la taille du trou pour le réchaud, c’ est évident… -
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