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Étiqueté : Edel 5/545
- Ce sujet contient 11 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par atricault, le il y a 15 années et 2 mois. Ce sujet a été consulté 752 fois
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12 septembre 2009 à 15 h 40 min #4251
Bonjour à tous,
Un Edel V peut il, sans problème, affronter un vent « echelle 4 »:( , avec petites rafales quand on se trouve seul à bord?:( :(
12 septembre 2009 à 16 h 09 min #7734Pour l’edel V je pense que oui mais moi en solitaire avec mon edel 2 du vent force 6 avec fortes rafales sans probleme avec 2 ris dans la GV et le foc.
Un seul truc a faire c’est tenir l’écoute de GV a la main sans la bloquer pour etre pret a donner du mou si le bateau se couche trop
Les propriétaire de V comme mr momo un specialiste de ce modele pourra te donner un avis averti.
12 septembre 2009 à 20 h 58 min #7735Bonsoir,
>Merci pour ta réponse. J’attends l’information de M. Momo:dry:
13 septembre 2009 à 8 h 39 min #7736pour la navigation en solitaire:
1/ Il suffit de réduire le génois (11m2) où le foc (7m2) avec ton enrouleur.
l’enrouleur est un plus à des forces de vent pareilles.
Il faut prendre (j’ai qu’un ris) le ris de la grand voile.2/ Tu peux naviguer qu’avec la grand voile diminuée.
C’est chaque capitaine qui va définir ses limites d’après son poids son expérience sa souplesse et l’équipement de son voilier. Sachant que la nature est toujours la plus forte.
Mon problème c’est la sortie et l’entrée du voilier du catway avec un vent de travers. l’EDEL V est légé sur l’eau et la coque une bonne prise au vent. (voila ma limite)
je monte mes voiles à une bouée pas de problème.
16 septembre 2009 à 22 h 02 min #7738Bonsoir,
Un grand merçi pour ton information, je vais appliquer …??? ce week end – :( Daniel
27 septembre 2009 à 21 h 35 min #7800Bonsoir Billy,
Je rentre de St Valery en caux aprés une superbe semaine avec sorties en mer. J’ai évidemment mis a profit tes conseils ainsi que ceux de M. Momo, mais je suis trés surpris que tu puisses affronter un vent force 6…j’ai eu lors d’une sortie un force 4 bien soutenu(avec mon edel 5 today)…qui a eu raison de mon plaisir….*
Attention: mon intention n’est surtout pas de polémiquer mais de m’instruire…je précise que je navigue seul mon épouse ne veut pas m’accompagner en mer et … j’ai plus que trois fois vingt ans…
Bien amicalement – Daniel28 septembre 2009 à 0 h 34 min #7802Salut Daniel
voila 5 ans que je fais des nav sur Eau vive mon edel 2.
Pour te consoler ce n’est pas du premier coup que je suis sorti avec du vent force 6 et de bonnes rafales,
je me suis habitué au bateau petit a petit et j’ai senti jusqu’ou je pouvais aller en étant en sécurité,
Avec 2 ris dans la GV et le petit foc que je met des le départ quand le vent souffle pas de probleme, c’est vrai que par moment c’est dur et que le bateau arrive a se coucher vraiment mais si comme je te l’avais dis tu as les ecoutes a la main et non dans les bloqueurs tu choque au quart de tour en remontant au vent , c’est le plaisir de la voileJe navigue toujours seul, ma femme n’embarque jamais sur eau vive meme par temps calme et mer plate, j’ai 65 ans donc tu vois je ne suis pas un jeunot, par contre je n’ai pas un edel 5 mais
l’edel 2 qui peu etre se comporte mieux, mais ce n’est pas du premier coup qu’il faut sortir avec du vent, il faut t’acclimater avec ton bateau.
Cet été je suis revenu de Palavas avec du vent de face des rafales et de grosses vagues
Je peux te dire que j’ai été soulagé quand je suis arrivé a Marseillan ou ma femme m’attendait au port, j’avais 3 heures de retard
j’étais crevé je n’avais jamais vu mon bateau se coucher comme ça avec les vagues qui me bloquaient quand je piquais du nez, maintenant je sais que ça doit etre tres dur pour fair chavirer un l’esel 2
Amicalement
Billy28 septembre 2009 à 11 h 30 min #7805L’essentiel est de se faire plaisir.
Il faut retenir le vieil adage: » il vaut mieux regretter de ne pas y être aller que regretter d’y être(sur l’eau). »J’ai a peu près le même âge. Comme beaucoup d’entre nous, je navigue seul sur Edel 600DL. Jusqu’à force 4 j’ai toute la toile. Au delà 1 ris voire 2. Tout dépend des rafales. Dès que la barre devient dure, que la bateau part au lof dans les rafales, c’est qu’on est trop toilé. Il vaut mieux réduire plus tôt quitte à larguer un ris que d’en prendre un quant la situation devient critique. Bien aplatir les voiles en les étarquant au maximum. La soupape de sécurité c’est la grande voile, donc jouer constamment avec l’écoute. Je réduit d’abord la grande voile avant de rouler du génois.
Le vent est une chose, mais la houle et les vagues en sont une autre. Le bateau vu sa taille réagit bien mieux par faible houle même avec un vent soutenu et fort, que dans des creux important avec un vent plus faible mais avec rafales. En effet tant qu’un bateau avance bien, il n’y a pas de problème, la décharge de l’air se faisant bien, ce qui peut coucher le bateau, c’est tout ce qui l’arrête, en particulier les vagues.
Il faut rechercher la meilleure fluidité possible.
Comme le dit très bien Billy, un bateau il faut l’apprivoiser petit à petit, pour rester le maître à bord.
28 septembre 2009 à 18 h 35 min #7808Bonsoir Billy
Merci à toi et à Aralalda pour vos bonnes informations qui peuvent , je pense, profiter à beaucoup de navigateurs jeunes ou vieux.J’ai acheté mon Edel voici cinq ans, un peu aprés ma retraite, J’adore naviguer mais tout le plaisir disparait à force 4 soutenue. Je voudrai bien comprendre. Est ce la limite des compétences qui créent la crainte…
Ce serait super si on pouvait avoir également l’avis de m. MomoBonne soirée à tous –
28 septembre 2009 à 23 h 12 min #7810Ce que tu ressens me parait normal. Ce n’est pas une question de compétence, mais plus d’expérience des limites du bateau.
Je te donnerai le conseil suivant, pour éviter tout stress il vaut mieux toujours être sous-toilé, pour apprendre à connaître les réactions du bateau. C’est souvent plus rapide et toujours plus confortable.C’est à force 3 à 4 que le plaisir est au maximum pour ce type de bateau, car ils sont au maximum de leur toile et donnent alors toute leur puissance.
J’ai un ami qui navigue sur un catamaran WARHAM, qui commence à bien marcher qu’à force 4 à 6.
Récemment nous avons eu un vent fort, 5 rafale à 6, j’avais toute les difficultés à tenir mon 600 avec 2 ris et le génois roulé d’1 quart, gité avec le liston dans l’eau, perché sur le bord au vent, alors que lui filait droit devant moi quasi à plat, comme dans des rails entre 8 et 10 nœuds. Connaissant bien mon bateau, je dois avouer avoir passé une très bonne après-midi, certes un peut mouillé et avec le soir le dos et les bras en compote!
Il y a quelques années, je n’aurais pas osé.Il faut se rappeler du dicton: Le voilier est le moyen le plus lent, le plus inconfortable et le plus humide pour se rendre d’un endroit où l’on est bien, dans un endroit où l’on a rien à y faire.
Mais quel plaisir !!!
29 septembre 2009 à 5 h 06 min #7811Comme le dis aralda:
C’est à force 3 à 4 que le plaisir est au maximum pour ce type de bateau, car ils sont au maximum de leur toile et donnent alors toute leur puissance.
Il vaut mieux toujours être sous-toilé au départ.
Je navigue sur un plan d’eau intérieur il y a forcément moins de houle.
L’edel v est très réactif au vent et la coque très large 2.44m. L’edel v se met en appuie sur l’eau ( belle gite) puis accélère.
Je préfère mettre mon foc sur mon enrouleur à force 4 car le génois me demande trop d’efforts. je vire souvent, lorsque je remonte au vent, la largeur de la Loire sur le barrage est de 400m avec de la roche de chaque côté.
Je mets mon ris dans la grande voile. j’ai un stick qui me permet de m’assoir au dessus des dossiers au niveau de la porte de la cabine pour faire le contre poids avec mes 90 kg. Si je pesais 70 kg je ferai poser une 2ème bande de ris. Force 4 est ma limite en solitaire le voilier ressemble trop à un 420.
Bien amicalement29 septembre 2009 à 9 h 30 min #7813Bon j’y vais de ma petite expérience…
Je crois qu’il y a en fait 3 éléments à prendre en compte : le vent, la mer et l’allure.
Par exemple, j’ai fait un nav le WE dernier dans un petit force 5, 1 ris et génois enroulé de moitié environ au près serré. Le bateau allait bien mais le clapot rendait assez inconfortable.
Une autre fois, dans des conditions similaires, j’ai fait une nav au grand largue, ca n’a rien à voir.Sinon, je confirme bien que c’est jusqu’à force 3 début 4 que je tire le plus de plaisir à naviguer, surtout à partir du bon plein.
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