Le troisième et dernier opus de ce chapitre SEA YOU. Il se termine par le convoyage du bateau qui à eu lieu fin 2018 avec un réveillon passé en mer. Je vous propose de découvrir comment à été organisée cette aventure jusqu’à l’arrivée au port d’attache avec un petit film qui aura été tourné pour l’occasion.
Durant la seconde visite du bateau nous avons demandé au propriétaire si la place occupée par le bateau était une place payée au mois ou bien à l’année. N’oubliez pas non plus de la poser ou vous pourriez avoir une surprise de taille. Rare sont les fois où vous signez l’acte de vente définitif en même temps que vous prenez possession du bateau. Lorsque vous signez l’acte de vente les frais de port du bateau vous incombent. Dans le cas présent la place était payée à l’année. Ne pouvant supporter 2 places de port en même temps, nous devions impérativement procéder au convoyage avant le 31 décembre !
Habitant à 5h de route du port d’attache et 4h du lieu de prise en charge du bateau, nous devions faire face à une première difficulté : Trouver un moyen de transport pour 4 personnes pour aller sur Gênes et pouvoir ensuite revenir chez nous depuis les Embiez. L’avion, hors de prix ; le train, il nous aurait fallu le double de temps. La Haute-Savoie semble être dans le trou du cul du monde pour ce qui concerne la SNCF Il y à bien un TGV mais c’est le terminus ? Il fallait aussi prendre en compte le fait qu’au port d’attache nous n’avions pas le temps de préparer (amarres…) l’arrivée du bateau. Il nous à donc fallut prévoir dans nos bagages un minimum d’accastillage mais aussi nos gilets de sauvetage (pas les trucs orange en mousse qui vous font ressembler à un Playmobil et qui ne permettent pas de manœuvrer facilement ).
Pour du co-voiturage, difficile de trouver un véhicule pour 4 personnes en direction de Gênes à une date bien spécifique et cela ne nous aurait pas donné la solution du retour une fois le bateau arrivé.
Finalement, nous avons opté pour la solution mi-voiture, mi-bus.Nous sommes descendu jusque sur Six-Four avec notre voiture où nous avons été hébergé pour la nuit dans la famille.
6h20 départ en direction de Nice
Petite escale de 2h à l’aéroport de Nice pour un changement de bus. Le gros sac noir à droite ce n’est que pour le bateau !
Arrivé sur Gênes, le bus ne nous à pas déposé au pied du bateau ! On aurait aimé vu les bagages mais on à du poursuivre avec tout notre barda en métro.
Quelques stations de métro Italien et on y est presque
Le bateau étant situé à quai dans une zone d’activité maritime, il faillait prévoir l’avitaillement en eau pour 2 jours de mer à 4. Comment vous dire… On à plus qu’apprécier lorsque nous avons enfin posé nos bagages à l’entrée du ponton. Nous allions enfin prendre possession d’un rêve que nous pensions être inaccessible et qui devenait concret.
Enfin !
Pour vous donner mon ressenti à ce moment là en montant à bord et même pendant cette navigation j’avais plus le sentiment d’être à bord d’une location que sur notre propre voilier. C’est con mais pourtant ce fut réellement le cas à ce moment là. Mais revenons-en à cette prise en main. Avant de prendre la mer nous devions impérativement préparer à minima cette petite croisière. S’assurer que tout est ok à bord. Et ça passe par :
- un nouveau contrôle de toutes les vannes,
- vérifier le niveau de chargement des batteries de service et démarrage moteur.
- Rentrer les waypoints sur le traceur pour nous assurer de rester dans la bande des 6mn. Le BIB (radeau de survie) étant à réviser.
- Préparer les cartes (papier) et le journal de bord
Ceux qui me connaissent ou on lu les différents articles sur NoStress, savent que je suis un adepte de technologie. Avant ce convoyage j’ai donc récupéré la doc du traceur que j’ai potassé en livre de chevet afin que celui-ci ne me soit pas étranger au moment voulu. Pour autant, ce qui restait sure et universel quelque soit l’équipement du bateau c’était d’avoir à bord des cartes papiers sur lesquelles j’avais déjà porté les waypoints de la route envisagée. Cette dernière à été réajustée jusqu’à la veille au soir à partir des prévisions météos. Les prévisions météos ont été réactualisé au port à partir des applications installées sur mon téléphone mobile.
Pour permettre à l’équipage de quart d’être à l’abri durant les quarts de nuit, nous avons installé la capote de roof (grande première vu que nous n’en n’avions pas sur NoStress). Entre notre arrivée au ponton, notre installation et préparatif du bateau, la nuit est tombée bien rapidement (n’oublions pas que nous sommes fin décembre) . Ma chérie nous à ensuite fait un riz cantonais pour nous réchauffer (pas de chauffage à bord !) avant que nous filions à tour de rôle prendre une douche bien chaude.
La météo n’annonce pas de vent et la risée moteur va être de rigueur. Réveil à 4h du matin pour nous laisser le temps de sortir de nos sacs de couchage où nous avions fini par y trouver un minimum de chaleur. Gênes est une très grosse zone d’activités maritime, le port est relativement, voir même, très éclairé. ce qui nous à facilité la tâche au moment de larguer les amarres. Avant de sortir dans le cockpit petit briefing avec l’équipage sur les consignes de sécurité :
- Port du gilet obligatoire pour l’équipage de quart durant la nuit,
- Personne sur le pont si je ne suis pas présent.
- En cas de doute, sur des lumières au loin faisant route vers Sea You ou tout autre chose, ne pas hésiter à descendre me réveiller
- Consignes à suivre en cas de chute à la mer (ça ne devait pas arriver si la consigne de personne sur le pont était respectée) et au cas ou comment utiliser la fonction MOB de la VHF mobile que l’équipage de quart devait garder avec soit et en veille sur le 16
L’utilisation d’une VHF mobile étant moins fréquente que c’elle d’un téléphone mobile pour les équipières présentes à bord, une petite formation rudimentaire à été donnée à l’équipage avant d’aller se coucher et ce au cas ou le réseau mobile ne passerait pas En plus de ça… Le n° d’appel d’urgence en mer accessible depuis le réseau mobile est affiché à la table à carte.
On quitte Port Antico
Après ce petit briefing sécurité, tout le monde dans sa cabine. Quand le réveille c’est mis à sonner, il à été difficile de sortir du duvet où nous y étions bien au chaud. Tout l’équipage à été sur pied à l’heure. Nous avons mis le moteur en marche pendant quelques minutes, pour sa montée en température, et avons largué les amarres à 4h30. Après la sortie du port, ma chérie et ma fille Fanny ont regagnées la cabine avant. Avec le moteur en route et pourtant bien isolé, pas facile de retrouver le sommeil. La cabine avant n’était pas de toute tranquillité. Une petite houle courte d’ouest ne leur aura pas permis de trouver rapidement le sommeil.
Changement de quart
7h30 : Heure de la relève. Sea You est sous pilote, toujours au moteur, faute de vent. Les 2 équipières sont ponctuelles. Les gilets sont en place et le témoin (vhf mobile) est passé. Il reste encore 4h avant d’atteindre le prochain waypoint donc l’équipage de quart n’aura pas à s’en soucier durant mon p’tit roupillon.
J’ajoute une ligne au journal de bord pour notifier ce changement de quart alors que l’aube se lève. Ma chérie à pris son rôle très au sérieux.
A l’abri de la capote de roof.
Elle aura été récompensé par la venue d’un petit groupe de dauphins et d’une maman avec son petit. Le moment à été tellement magique pour elles, qu’elles n’ont pas eu le reflex de prendre la petite caméra. Ce moment aura cependant été filmé de manière très courte par ma fille Fanny qui avait toujours son téléphone dans la main. Pensant que le petit groupe n’avait fait qu’un passage furtif, qu’elle ne fut pas leur surprise de voir 2 adultes faire une apparition à 2 mètres du sillage de SEA YOU. Leurs joie à été tellement intense que cela m’a sortie de mon demi-sommeil. Je m’étais installé sur une des banquettes dans le carré pour pouvoir être rapidement debout en cas de nécessite. Pour le coup, curieux de cette agitation je les ai rejoint dans le cockpit où elles m’ont raconté ce que je venais de louper !
D’un commun accord avec l’ensemble de l’équipage, nous avons défini la durée d’un quart sur 3h. Ni trop court, ni trop long, mais suffisamment pour permettre de trouver le sommeil et permettre de récupérer un peu. D’autant que faire un quart de nuit à 2 (pour une première fois) c’est bien. Ca permet de se tenir compagnie et d’être certain que la veille sera assurée. . Le jour étant bien établi, les 2 équipières de quart sont restées avec moi dans le cockpit. Bah à ce moment là, il manquait une personne sur le pont ! Marine, en charge de faire les quarts avec moi, à juste oublié de se lever !!!! Bon prince j’ai laissé la marmotte dans sa cabine avec le doux son du Yanmar pour continuer à la bercer ?
Escale Menton Garavan
En partant de Gênes, j’ai contrôlé la jauge du réservoir Gasoil. Elle indiquait bien 4/4. Je ne sais pas si c’est généralisé dans toutes les marinas d’Italie mais le weekend, tout est fermé. Donc pour le plein de gas-oil , impossible à faire avant notre départ. Ayant également une contrainte de date pour être au port de destination, nous ne pouvions pas rester bloqué au port pour attendre que la station soit ouverte.
Pas lieu de s’inquiéter. Si nécessaire nous ferions un arrêt en route. Dans le courant de l’après-midi, ma chérie m’a fait la réflexion qu’il serait bon de jeter un œil à la jauge. Bien lui en à pris. Je venais de regarder 2h plus tôt et sans en comprendre la raison la jauge venait de passer de 4/4 à 1/2 !. En 2 heures de temps nous n’avions pas pu consommer plus que ce que nous avions parcouru, à régime moteur identique, durant toute la nuit et matinée. C’est comme si le réservoir avait une forme d’entonnoir. Pour le coup, je me suis senti tout d’un coup pas confiant dans la jauge ! Le port de San Remo se trouvait 3mn derrière nous. Il était 16h. Sachant que sur Gênes tout était fermé, autant ne pas prendre le risque de faire demi-tour, griller du gasoil et se retrouver station fermée.
En France le weekend les stations sont ouvertes dans les ports. Premier prochain port le plus proche. Menton Garavan (11mn) ou Monaco (15mn).
Par sécurité j’ai contacté les 2 ports. Menton Garavan, la station essence est privée, en hivers les horaires sont : 10h-16h. Je contacte en suite la capitainerie de Monaco en me disant que là-bas vu les Yachts, la station est ouverte 24/24 7/7j avec paiement par CB et que cela nous laisserais le temps d’arriver quand on veut. Que néni ? « c’est la basse saison, la station est fermée pour travaux… »
N’ayant pas les moyens financier des Yachts à quai de Monaco pour charger un groom de me trouver du Gasoil à mon arrivée, j’ai contacté le port du Cap d’Ail. Vous me croirez si vous-voulez : Fermé aussi à cette saison !. Nous avons donc opté pour la solution de repli et plus sage pour tout le monde : Appeler la capitainerie et demander un place à quai (en basse saison le prix ne justifie pas dans ce cas là d’aller au mouillage). 23€ la nuit pour un 12m (l’acte de Francisation donne 11m75). Nous étions donc soulagé et tout le monde content de pouvoir passer une nuit paisible.
Manœuvrer un 12m avec barre à roue (sans propulseur d’étrave) n’est pas la même chose qu’un 7m10. Lorsque je me suis vu attribuer une place au ponton en début de quai je me suis dit : « Bah mon gars la première manœuvre de port c’est pour ce soir ! ». A ce moment là j’ai été bien content de ne pas avoir de vent ? Petit topo rapide aux équipières pour leurs indiquer ce que j’attendais d’elles et qui serait en charge d’occuper telle place sur le pont… et hop c’est parti pour la manœuvre.
J’ai ‘joué’ de l’inverseur ce qui permet, avec le pas de l’hélice, de pouvoir tourner quasiment sur place. Manœuvre facile à réaliser et réussie du premier coup. Mes équipières ont été à la hauteur et tout le monde à joué son rôle.Soulagé de n’avoir embouti aucun voisin le moteur à été coupé et nous avons tous été bien heureux de cette petite escale improvisée.
La passerelle est plutôt riquiqui et surtout très lourde ! Ça sera un des premiers travaux à réaliser une fois rentré à la maison
Première chose à faire quand on arrive à quai, brancher le câble électrique à la borne de quai. Ça évite de décharger les batteries pour l’utilisation du bord et permet de pouvoir utiliser les prises 220V. On s’est retrouvé avec une prise de quai qui n’était pas adaptée (trop petite) à celle de la borne du quai. Un voisin de ponton providentiel à eu la grande gentillesse de nous prêter un adaptateur. La solidarité entre marins existe encore !
Pour fêter notre première partie de trajet et parce que mon équipage le méritait amplement, nous avons fait livrer des pizzas directement à quai.
Pizzas bien méritées et surtout bien appréciées
Après une bonne nuit de sommeil et grasse matinée pour tout le monde, nous avons profité du magasin Super-U situé sur le quai pour faire un peu d’avitaillement et en attendant que la station essence ouvre nous avons été régler la nuit en capitainerie et refaire un point sur la météo.
On refait le plein de Gas-oil
Destination les Embiez
En sortie de port nous avons touché un petit air portant qui nous à permis (enfin) de hisser les voiles. Malheureusement cela aura été de courte durée.
Contrairement à la route initialement prévue et du fait d’une très bonne météo, nous avons raccourci le trajet en tirant directement sur le Cap Lardier. Certes cela nous mettais hors zone des 6mn (contrainte BIB non révisé) mais en même temps nous n’étions pas à 20mn des côtes non plus. Le temps était au plus que très beau et nous étions pas en sweat-shirt mais presque. Pour une fin décembre on ne pouvait rêver mieux.
En fin d’après midi, alors que le soleil avait entamé une belle descente vers la ligne d’horizon, nous avons touché de nouveau un peu d’air, malheureusement pour nous, plein pif.
L’équipage au complet
Sur la rad de Marseille la veille un bon Mistral c’était fait sentir et nous en avons ressenti un petit effet avec un bon clapot sur l’eau (cela ne se voit pas sur la vidéo en bas de page pour 2 raisons, une caméra aplatie toujours l’image, et 2 la caméra est équipée d’un stabilisateur. Nous avons passé le réveillon au large avec une vue sur les différents feux d’artifices.
(Seule photo de nuit exploitable ? )
Le levé de lune était programmé pour 2h du matin et nous avons donc eu droit à un ciel totalement dégagé. Le ciel laissait place à une voûte étoilée splendide. Nous avons été surpris de voir les étoiles au niveau de la ligne d’horizon.
En approche des îles du levant, j’ai eu droit à une belle étoile filante. A ce moment-là, ma pensé à été pour un ami qui aurait été certainement présent à bord pour ce convoyage. Fait du hasard c’est à quelques milles de là que nous avions passer une semaine en flottille EdelVoilier à bord de son Edel 4 Bobato. Que de beaux souvenirs cette flottille et certains d’entre vous s’en rappel encore certainement.
Passer le phare du Titan, nous n’étions plus bien loin et nous allions bientôt toucher au but. A 6nd, il ne nous restait plus beaucoup à faire pour atteindre notre destination finale. Nous avons passé le Cap Sicié et contourné le phare du grand Rouveau pour arriver au niveau du chenal d’entrée de port des Embiez le 1er Janvier 2019 à 3h30 du matin.
Le bateau à été amarré avec les bouts que nous avions à dispo dans les coffres. Les lignes d’amarre et leurs ressorts que nous avions trimbalé durant tout le trajet bus/métro/ à pied, attendraient bien le lendemain matin pour être installées.
Sea You à son port d’attache Iles des Embiez
Durant cette petite navigation et première mise en jambe avec le bateau, nous avons eu de nombreux messages via Facebook. Bien que c’eu été un soir de réveillon, toutes ces personnes ont partagées un peu de leur temps avec nous et cela nous à fait chaud au cœur. Nous tenions à les en remercier.
Si ce récit à permis de répondre à certaines de vos questions concernant le passage à un bateau de taille supérieur ou tout simplement s’il vous à plu et que vous souhaitez poursuivre les aventures de Sea You, Vous avez la possibilité de rester informer des nouvelles publications en vous abonnant sur la page FaceBook.
Afin que vous puissiez, vous aussi, revivre les moments vécus, nous tenions à vous faire partager en vidéo les temps forts de ce convoyage en espérant que celui-ci vous plaise.
https://youtu.be/z9u1lEAKQrs
(belle balade) super reportage qui fait bien envie !
mais pour ma part j’attendrai encore un peu
Pour me consoler je me dis que d’autres bateaux aux prix inaccessibles le deviendront :D
Bon vent a toute la famille et..
Sea You again with pleasure !
(Garder espoir) Hello Pierre35,
Merci pour ce message. C’est plaisant à lire et permet de pouvoir échanger sur le contenu de l’article Mon but était de communiquer sur un rêve que longtemps avec ma chérie nous n’aurions cru possible. Elle avait même fini pas s’y résigner. Mais comme le dit ma signature du forum. « Il faut vivre ses rêves et ne pas rêver sa vie ».
Ce n’est pas toujours facile et cela demande bien des sacrifices mais quand on veut atteindre un objectif il faut s’en donner les moyens. Tout est question de temps mais comme le prouve cet article, un rêve peu devenir réalité. Je le souhaite à tous les marins qui ont fait le même
(RE: Le convoyage de Sea You) Salut Pascal
Ca fait longtemps que je n’étais pas venu sur le site, je vois qu’il y a eu quelques « légers » changements
Félicitations !
Comment as-tu fait pour la place de port, j’imagine que tu n’as pas récupéré celle de Nostress vu la différence de gabarit, tu étais sur liste d’attente pour une plus grande ?
(RE: Le convoyage de Sea You) En effet la place de Sea You n’était pas adaptée. Notre projet ne date pas d’aujourd’hui. Il y à 10 ans en arrière lorsque nous n’étions encore que de passage sur le port nous avions eu un coup de foudre. Un ami m’avais dit à l’époque que pour avoir une place il fallait compter des années en Med. alors nous avions procéder à une demande de en liste d’attente pour cette catégorie de bateau vers laquelle nous savions vouloir aller.
Notre tour est arrivé l’an dernier. Ayant encore NoStress nous avons demandé à bénéficier d’un délais pour ne pas perdre notre tour, le temps de la vente. Délais qui à été accepté en attribuant la place de l’an dernier à celui qui était après nous. Et cette année nous avons concrétisé avec toutes les bonnes et les mauvaises expériences qu’occasionne une recherche de bateau.
J’ai voulu la faire partager en faisant ces 3 articles. J’espère que cela pourra servir à d’autres
(RE: Le convoyage de Sea You) Ah oui c’était donc prévu très en amont, bien joué.
Les Embiez ça fait vraiment rêver, je kiffe ce port (surtout en comparaison d’un port à sec à Martigues…)
J’ai jamais franchi le cap de me mettre sur liste d’attente. Ce qui me fait hésiter outre la différence de tarif, c’est surtout le fait d’être comme toi loin du port, donc dans l’incapacité de vérifier les amarres régulièrement. Plus la nécessité de caréner, ce que je n’ai jamais eu à faire sur aucun de mes bateaux jusqu’à présent… Je serai preneur de tes retours d’expérience en ce sens !
(SEA YOU 3 PARTIES REMARQUABLES) TITIEDEL inscrit de puis longtemps mais très furtif suite à pépins de santé et financiers à la suite …j’étais d’humeur grognon mais je dois dire que visionner les 3 parties de ce reportage « sea you » m’ a fait un bien fou ! Vraiment remarquable et je suis très heureux pour vous d’autant que c’est l’aboutissement d’une passion avec un site remarquable !!!
Bravo et merci et bon vent à vous quatre bien sympathiques :)
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